Les actions du FSE ont bénéficié pour 30 % à des demandeurs d’emploi, pour 36 % à des salariés et 36 % à des personnes inactives. La priorité est allée aux personnes à faible niveau de compétences (40 %), aux jeunes (30 %) et aux personnes défavorisées (21 %)
Bien sûr, ces actions ont été conduites principalement dans les pays où le système social est peu développé et qui en ont un fort besoin : Bulgarie, Estonie, Grèce, Lettonie, Lituanie, Malte, Roumanie, Slovaquie, apportant 70 % aux politiques actives du marché du travail. Une aide de 5 % a aussi été apportée aux dépenses d’éducation et formation du Portugal et de la République tchèque.
On pense que le FSE a contribué pour 0,25 % de croissance du PIB.
Source
- Employment and social development in Europe 2016
http://ec.europa.eu/social/main.jsp?catId=738&langId=en&pubId=7952&type=2&furtherPubs=yes